Sexe, Lio ne veut plus ça! La chanteuse pratique l’abstinence depuis 11 ans et qu’elle fait parfaitement.
Nous savons, avec le temps et le recul, que le titre Banane split n’avait absolument rien d’innocent dans la bouche de Lio. Mais le moment où le chanteur a pris le dessert avec l’homme abominable de la neige était terminé. Invité à témoigner sur les injonctions faites aux femmes du documentaire Médaillequi a été diffusé sur Téva le 17 octobre 2023, l’artiste de 61 ans a en fait mentionné sa sexualité en confirmant, une fois de plus, qu’elle ne voulait plus avoir des relations sexuelles avec un homme.
Je ne dors plus. Je ne veux plus ça
Sur Téva, Lio a été confrontée à une vieille interview, accordée à France Inter en 2020, au cours de laquelle elle a déjà abordé ce thème. “” “Je suis en abstinence, a expliqué l’ancien partenaire d’Alain Chamfort.Cela a déjà été depuis cinquante ans. Je ne dors plus. Je ne veux plus ça, je ne veux plus cette relation avec mon corps aux hommes. Nous demandons toujours une rémunération trop forte pour les femmes.«C’est en forgeant que l’on devient un forgeron et que le chanteur est passé, depuis, maîtresse dans l’art du renoncement. Avec d’autres, de toute façon.
Mes dix petits doigts me connaissent si bien
“Je n’avais pas du tout Ne veux pas d’introduction Pas même dans les oreilles, pas même un coton-tige en fait, rien n’a été introduit en moi, Elle a ajouté Téva. Que moi, avec moi. Mais les hommes ne Ne le manquez pas du tout. Mes dix petits doigts me connaissent si bien … Mon Dieu, comme ils me font du service!«Il faut dire que Lio a d’autres priorités dans la vie. En particulier, le bonheur de ses six enfants, Nubie, Esmeralda, Garance, Léa, Igor et Diego, et le désir de rattraper certaines erreurs passées.
“C’était si difficile pour beaucoup, beaucoup, beaucoup d’années … ils ne se sont pas bien passésElle a assuré Thomas Sotto dans le programme Hors-piste. J’ai été confronté à leurs énormes souffrances chaque jour, sans toujours savoir comment y répondre. Et, certainement, en ne répondant pas à la hauteur de ce que chaque enfant mérite. Et, aussi, parce que j’ai un travail qui me fait bouger. Je me sens responsable de beaucoup de choses et ils ont des comptes à me demander. Je suis ici pour y répondre. C’est leur droit le plus légitime….“