Attention à cette pratique trompeuse lors du shopping

Attention à cette pratique trompeuse lors du shopping

Pendant l’inflation alimentaire exceptionnelle, le scrutin du reçu peut devenir un réflexe. D’autant plus qu’il contient souvent des erreurs par rapport au prix affiché.

Qui prend vraiment le temps de vérifier le prix de chaque article lorsqu’il fait des achats? Alors que l’inflation bat les enregistrements dans le domaine des aliments, les consommateurs sont de plus en plus vigilants quant au prix des biens de consommation actuels dans les supermarchés.

Mais si la vérification du prix sur l’étiquette est une chose, s’assurer qu’elle est suivie à la caisse en est une autre. En effet, il est très fastidieux de noter le montant de chaque produit pour le comparer à la réception. Encore, Dans environ 10% des casIl ne correspond pas, rappelle Bouillonnage.

Pouvons-nous prétendre payer le prix indiqué?

Dans la grande majorité des cas, ces différences seraient une simple erreur d’étiquetage. Les professionnels oublieraient simplement de mettre à jour les prix lorsqu’ils évoluent. Mais que le vendeur soit de bonne foi ou non, cela ne change pas la règle.

Le prix affiché sur les étagères ou dans la fenêtre est celui auquel un marchand s’engage à vendre son produit. Changer cet élément essentiel au dernier moment est considéré comme Une pratique commerciale trompeuse. Le consommateur a donc le droit d’exiger de la caissière que la propriété lui sera vendue au prix affiché.

Le prix ne doit pas être dérisoire

Cependant, cette règle tolère une exception. Il faut que Le prix affiché reste plausible. S’il est dérisoire par rapport à la valeur réelle du produit, l’étiquette ne peut pas être opposée au vendeur. Ainsi, si votre paquet de pâtes est affiché 30 cents moins cher sur les étagères, vous pouvez exiger de bénéficier de ce prix. D’un autre côté, si l’étiquette affiche le caviar à un euro par kilo, c’est évidemment une erreur. Notez que si le vendeur est de bonne foi, l’écart entre les étiquettes et le reçu devrait parfois profiter au consommateur. Dans tous les cas, la question de ces différences récurrentes est susceptible d’animer le débat sur la disparition de la caisse du journal.

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© Lordhenrivoton

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