Invité de BFM TV Après l’annonce de son gouvernement, François Bayrou n’a élu aucun sujet. Le Premier ministre s’est notamment concentré sur la réforme des pensions, qu’il ne souhaite pas suspendre ou geler, même s’il a dit qu’il était prêt à “trouver des compromis” avec les partenaires sociaux.
François Bayrou l’avait annoncé, il ne souhaite pas suspendre la réforme de la pension de 2023, comme demandé par la gauche. “Non, je ne ferai pas ça. Dans quel monde vivent-ils? Savent-ils que la France est observée, examinée parce que nous appelons les agences” note, il a dit sur BFM TV.
Sur le même canal, quelques minutes après l’annonce du gouvernement, le Premier ministre a gardé sa ligne de conduite. Il a assuré qu’il ne voulait pas le congeler lors des nouvelles consultations qui s’étendront “Jusqu’à l’été”. Le locataire Matignon a également déclaré qu’ils étaient favorables au système de retraite de pointset prêt à “Trouver des compromis” avec les partenaires sociaux.
François Bayrou s’est également exprimé sur la taxe sur la richesse (ISF). L’idée était apparue dès que Michel Barnier est arrivée au pouvoir. Elle voulait cibler les richesce qui l’a rendue acceptable à l’opinion publique. Interrogé sur un éventuel retour de cette taxe sur les richesses, le Premier ministre a refusé de répondre à la questioncroire que c’est un débat “Qui doit prendre du temps”.
Le Premier ministre appelle à un effort de grandes entreprises
De plus, le chef du gouvernement a soulevé la question des différentes contributions pour réduire qui ont fait l’objet de discussions sur le projet de loi financière abandonné en décembre. «Je n’ai jamais aimé l’acte d’accusation de grands groupes. Il doit être reconnu que les grands groupes, les PME et les VSE ne sont qu’une seule économie»Il a dit. “Ce sont des entreprises qui créent de la richesse et de l’emploi et c’est grâce à eux que nous avons une solidarité nationale”Il se souvenait-il.
Cependant, il a concédé qu’il pouvait envisager de demander “Pendant un court laps de temps pour être fait” à ces grands groupes. François Bayrou souhaite donc réduire le déficit et plaider pour un “équilibre” déficit public “Environ 5%, un peu plus de 5%”.
Capital (avec 6Medias)