Un médecin légiste entend un étrange sifflement dans sa morgue. En ouvrant un réfrigérateur, il a fait une découverte terrifiante.
Un bruit inquiétant (1/20)
Un médecin légiste a commencé à entendre un bruit très inquiétant de la morgue. En découvrant l’origine de ce son, il a commencé à crier de peur. Découvrez pourquoi.

Un homme riche (2/20)
Thierry était un homme ordinaire. Il vivait dans une banlieue chic avec sa femme et ses trois garçons. Thierry avait pu offrir une belle maison à sa famille grâce à sa profession à laquelle il était dévoué.

Fatigué d’être médecin (3/20)
Thierry n’a pas fait de travail qui plaît à tout le monde. Il fallait avoir du courage de faire ce qu’il faisait. Plus jeune, Thierry a décidé de commencer à étudier la médecine. Il voulait aider les autres. Au fil des ans, cependant, il était fatigué d’entendre les problèmes de chacun.

Un travail comme aucun autre (4/20)
Thierry a donc décidé de convertir et de faire un travail très calme et silencieux. En effet, il a choisi de devenir médecin légiste. Thierry avait donc l’habitude de frotter les épaules avec des cadavres tous les jours. Son entourage l’a souvent remis en question sur sa profession. Certains lui ont demandé s’il avait déjà rencontré des fantômes au cours de sa carrière.

Les histoires de fantômes ne lui font pas peur (5/20)
Thierry n’était pas superstitieux. Il était très cartésien et pour lui, les esprits et les fantômes n’existaient pas. Quand il a entendu des histoires de ce genre, Thierry a toujours trouvé des explications que les gens pensaient être paranormaux.

Accidents terribles (6/20)
Au cours de sa carrière, Thierry a également été confronté à des histoires terrifiantes. Les corps qu’il devait à l’autopsie provenait parfois de scènes de crimes. Pire, il a déjà vu le corps des enfants victimes d’infanticides. Mais ces «patients» représentaient probablement 1% des corps qu’il a vus dans sa morgue.

Une journée de travail non ordinaire (7/20)
La semaine venait de commencer, et Thierry était revenu comme d’habitude à l’hôpital pour commencer son travail. Ce jour-là, le service de soins intensifs lui avait envoyé deux patients décédés. Il a ensuite effectué leur autopsie et a conclu que ces personnes étaient mortes d’un arrêt cardiaque.

La morgue est pleine (8/20)
Après avoir terminé une autopsie, Thierry a stocké les corps dans un réfrigérateur situé dans sa morgue. C’était un système de type placard classique dans lequel on pouvait mettre une seule personne. Ce jour-là, les Fridges étaient pleins et il n’y avait plus de place pour un nouveau défunt.

Quelque chose l’appelle (9/20)
Chaque soir, avant de quitter son poste, Thierry a éteint les lumières de la morgue et avait l’habitude de dire: «Rendez-vous demain» à ses patients décédés. Ce soir-là, Thierry, cependant, est resté quelques secondes devant la porte avant de sortir.

Des sifflets étranges (10/20)
En effet, le médecin a entendu une sorte de sifflement après avoir dit au revoir à ses patients. Il avait l’impression que quelqu’un essayait d’attirer son attention. Thierry a ensuite encore allumé la lumière pour voir ce qui se passait dans la morgue.

Il est probablement fatigué (11/20)
Cependant, le médecin légiste n’a rien remarqué anormal. Thierry s’est ensuite frotté les yeux et a dit qu’il devait être fatigué de sa journée de travail. Il est ensuite rentré chez lui comme si de rien n’était.

Une journée bien remplie (12/20)
Le lendemain, trois corps ont été envoyés au salon funéraire. Thierry avait en effet fini de les analyser. Malheureusement, ce jour-là, trois autres victimes sont venues remplir l’espace qui venait d’être libéré. Il n’y avait donc plus de place dans la morgue. Le soir, Thierry était donc épuisé.

Les bruits reviennent (13/20)
Comme d’habitude, avant de quitter son poste, il n’a pas oublié de dire au revoir à ses patients. Encore une fois, Thierry a entendu de plus en plus de sifflets bruyants. Il pensait que ce ne pouvait pas être une coïncidence. Il a ensuite fouillé la toile de fond pour voir s’il n’y avait pas quelque chose d’anormal.

Il ne peut pas dormir (14/20)
Le soir, dans son lit, Thierry n’a jamais cessé de penser à ce qu’il avait entendu dans sa morgue. Il commençait à se demander si les fantômes n’existaient pas. Peut-être que les morts essayaient de communiquer avec lui. Thierry n’a donc pas fermé l’œil de la nuit.

Les fantômes existent-ils? (15/20)
Le lendemain, Thierry a décidé d’appeler une sorte de chasseurs de fantômes. Il voulait savoir si les bruits venaient de faits paranormaux. Une fois sur place, le célèbre chasseur de fantômes a allumé une machine qui a permis de détecter les signaux d’esprit. Cependant, son appareil a détecté quelque chose d’anormal.

Il en parle à son collègue (16/20)
Lorsque l’expert fantôme est parti, Thierry était à nouveau seul. Étonnamment, il a estimé qu’il y avait une autre présence dans la pièce. Encore une fois, Thierry a entendu ces sifflets très étranges. Il a ensuite décidé d’appeler l’un de ses collègues pour s’assurer que ces bruits ne venaient pas de son imagination.

Thierry commence à paniquer (17/20)
Son collègue a entendu ces bruits mystérieux entendus. La panique s’est rapidement installée à l’hôpital. Thierry et les autres médecins ont essayé de savoir d’où venait ce bruit. Ils ont ensuite remarqué que le coup de sifflet était plus fort au niveau du réfrigérateur numéro 5.

Il inspecte le réfrigérateur en question (18/20)
Thierry s’est ensuite approché et en effet, le coup de sifflet est venu du réfrigérateur numéro 5. Pancé, il ne savait alors pas quoi faire. Doit-il ouvrir ce réfrigérateur pour découvrir ce qui se passait à l’intérieur? Thierry a finalement pris son courage dans les deux mains et a ouvert la porte du réfrigérateur.

Thierry ouvre enfin le réfrigérateur (19/20)
En ouvrant le réfrigérateur, Thierry et son collègue ont commencé à crier. Ils ont en effet été choqués par ce qu’ils venaient de voir. Qu’est-ce que les deux médecins ont pu découvrir qui les a tant terrifiés?

Une famille de rats (20/20)
À l’intérieur du réfrigérateur, il y avait en effet une famille de rats. Les rongeurs avaient élu domicile à la morgue. Une semaine plus tôt, l’hôpital avait appelé à un service de dératisation pour se débarrasser de ces ravageurs. Il semble que cette famille de rats ait réussi à échapper au déracteur. Thierry n’oubliera jamais ce jour. Au moins, il était maintenant soulagé.
