Marlène Jobert célèbre ses 84 ans ce lundi 4 novembre 2024, l’occasion de revenir sur un événement marquant de sa vie : un accident de voiture survenu en 1962 à Paris, qui aurait pu lui être fatal. Heureusement, la comédienne a pu compter sur les avancées de la chirurgie pour surmonter une séquelle importante.
Avec une carrière remarquable dans des films emblématiques tels que Le Passager de la pluie ou Les Mariés de l’an II, Marlène Jobert s’est ensuite réinventée avec succès en devenant une auteure adorée de la littérature jeunesse. Mais son parcours n’a pas été sans embûches. Dans une interview accordée à Paris Match en avril dernier, elle est revenue sur un traumatisme qui a marqué sa jeunesse.
En 1962, alors âgée d’une vingtaine d’années, Marlène Jobert a été victime d’un grave accident de voiture à Paris. Cet événement l’a laissée avec une cicatrice de 13 centimètres sur le visage, un souvenir douloureux qu’elle évoque avec émotion : « Je ne suis pratiquement pas sortie de chez moi pendant un an pour ne pas me montrer. »
Malgré cette épreuve, Marlène a pu compter sur le soutien de Claude Berri, qui lui a apporté réconfort et amour. Grâce à la chirurgie esthétique, elle a finalement pu retrouver confiance en elle : « La chirurgie esthétique m’a sauvé la vie », confie-t-elle avec gratitude.
Un nouveau chapitre : la famille
Après ce sombre épisode, Marlène Jobert a rencontré Walter Green, chirurgien-dentiste, qui est devenu son mari et le père de leurs jumelles, Eva et Joy, nées en 1980. Marlène parle de ses filles avec fierté, bien qu’elles aient choisi des chemins de vie très différents : « Elles sont sérieuses, travailleuses et réservées. Ni l’une ni l’autre n’est extravertie. »
Joy, décrite comme « cartésienne et organisée », vit en Toscane, où elle produit du vin. Eva, quant à elle, mène une carrière d’actrice florissante en Angleterre, portée par son esprit « artiste et fantaisiste ».
Si Marlène regrette que ses filles soient loin, elle se console grâce à ses petits-fils, Giulio et Vittorio, qui remplissent sa vie de bonheur. « Ils me rappellent combien il est précieux d’avoir une famille unie », conclut-elle avec tendresse.
